@article{oai:ir.kagoshima-u.ac.jp:00008674, author = {柴田, 健志 and Shibata, Kenji}, issue = {56}, journal = {哲学}, month = {}, note = {L'articulation des genres de connaissance dans l'Ethique a été souvent discutée et on reconnaît l'interprétation deleuzienne à sa manière toute originale. Mais un examen précis des textes nous empêche de 1'accepter. Quel rapport s'établit-il entre le premier et le deuxième genre? Deleuze y découvre une transition du premier au deuxième genre et à cette transition it donne une signification pratique. Comment peut-on arriver au deuxième genre, c'est-à-dire former des idées adéquates, étant condamné à n'avoir que des idées inadéquates? Selon Deleuze, telle est la question pratique par excellence qu'implique la théorie spinoziste de la connaissance et elle est résolue par la théorie des notions communes. Or, est-ce qu'il y a une telle transition? Evidemment non puisque la proposition 3 de la troisième partie de l'Ethique dit franchement que des idees adéquates et des idées inadéquates coexistent dans un esprit humain. Alors, la question se pose de toute autre facon : quelle est la signification de cette coexistence? C'est que des idées adéquates peuvent s'engendrer à côté des idées inadéquates et une vie toute autre que la vie courante qui se ramènèa l'enchaînement des idées inadéqueates, c'est-à-dire dans l'imagination, est possible. Dès lots, le rôle théorique des notions communes ne consiste pas à fonder la pratique, mais plutôt à démontrer la présence du vrai et donc la possibilité de se mettre d'emblée à la vie intellectuelle.}, pages = {207--221}, title = {真理と生―スピノザの知識論再考}, volume = {2005}, year = {2005}, yomi = {シバタ, ケンジ} }